Search
Close this search box.

Le Makossa, un patrimoine immatériel

Au cœur de la commune d’Arrondissement de Douala 1er, le Makossa résonne comme un écho de l’âme camerounaise. Ce genre musical, né dans les rues animées de Douala, est devenu un symbole de la culture et de l’identité de la région. Dans cet article, nous explorons le Makossa en tant que patrimoine immatériel de Douala 1er, célébrant son histoire, ses influences et son impact durable sur la communauté.

Les Racines du Makossa

Le Makossa, qui signifie “danse” dans la langue douala, a vu le jour dans les années 1950. Il s’est développé à partir des rythmes traditionnels douala et a été influencé par la musique urbaine et les sons internationaux. Le Makossa est plus qu’une musique ; c’est une expression de la vie quotidienne, reflétant les joies et les luttes de ses habitants.

Les Icônes du Makossa

Des figures emblématiques comme Manu Dibango ont propulsé le Makossa sur la scène internationale avec des hits comme “Soul Makossa”. Ces artistes ont non seulement enrichi le patrimoine musical de Douala 1er mais ont également servi de pont entre le Cameroun et le reste du monde.

Le Makossa Aujourd’hui

Aujourd’hui, le Makossa continue de prospérer, s’adaptant aux changements tout en restant ancré dans ses traditions. Il est célébré lors de festivals, interprété dans les clubs et les salles de concert, et reste un élément essentiel de la scène musicale de Douala 1er.

Le Makossa est un trésor culturel de Douala 1er, un patrimoine qui se transmet de génération en génération. Il incarne l’esprit de la commune, une source de fierté et d’unité pour ses habitants. En tant que patrimoine immatériel, le Makossa n’est pas seulement préservé dans les archives ou les musées ; il vit dans le cœur et les pas de danse de chaque Doualais.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *